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end of your logo -- liens unblog.fr victor hugo catégories liens non classé recherche archive avril 2011 février 2011 janvier 2011 décembre 2010 novembre 2010 juillet 2019 d l ma me j v s « avr 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 méta inscription connexion rss rss des commentaires 14 avril, 2011 classé sous liens — fruity @ 12:11 un jour est passé maintenant et je suis loin de vous, c’est vraie que je suis loin mais c’est comme si vous étiez toujours près de moi juste là , juste qu’il m’est impossible de vous toucher, vous embrasser ou vous taquiner, la distance est quelque chose de bien étrange, j’ai l’impression de ne toujours pas bien réaliser que je suis ailleur, un endroit qui n’est pas notre chez nous, vox voie me manque terriblement j’ai froid et je n’ai personne pour me prendre dans ses bras, votre chaleur est loin désormais, mais je sais que je reviendrais et même si vous me manquer terriblement je sais que vous êtes là pour moi peu importe la distance, je sais que vous m’attendez peu importe le temps, je sais que vous m’aimez peu importe ce que je suis ou ce que je serais avec tout les changement, alors je tiens bon, j’attend je crois que c’est tout ce qu’il me reste a faire, attendre que le nouveau se passe, que tt se tasse et que le temps passe, et alors enfin je reviendrais comme je suis partis, a quelque différences près, je reviendrais. ps : je vous aime fort pas de commentaire -- etre cher de mon coeur classé sous liens — fruity @ 11:17 déjà plus d’une semaine loin de vous, je ne sais plus quand je vous retrouverais, je ne sais plus si je vous reverrais et pourtant j’écris, je vous écris dans l’espoir d’un jour vous donner ces bout de moi, de ma peur, de mon angoisse, de mon amour pour vous. j’ai peur, peur de ne plus vous retrouver quand je reviendrais, peur de ne pas avoir le temps de revenir, peur de ne pas vous revoir, vous retrouver, j’ai peur de ne plus jamais retrouver ailleur un si grand bonheur. la distance est de plus en plus réaliste, l’absence est de plus en plus présente dans mon âme, et je n’ose imaginer ce que vous ressentez de peur de ne pas le supporter et de m’effondrer, pourquoi cette tristesse m’envahit t elle alors que c’est moi qui devrait être la pour vous je pleure et c’est injuste ,je suis déjà en sécurité mais j’ai l’impression de vous avoir abandonné, d’avoir laissé notre amour la bas, si loin, de l’avoir laissé a la merci de cette haine ; de ce désir de vengeance qui nourri le cœur d’être humain faible et sans esprit. la bas, chez nous, les combats font rage, c’est dans vos voie que je trouve encore la force de me tenir debout, c’est dans vos mots que je trouve encore le courage de sourire, et c’est de mon amour que j’espère vous soutenir et vous donner la force de vous battre, le papier est chaud sous mes doigts et pourtant loin de vous je tremble, j’ai peur, et j’ai froid. je vous ai promis de revenir, et promis de vous soutenir, vous m’avez promis de m’attendre, en gardant vos flammes allumées. je m’imagine vos vies, et les bruits des armées pourtant je sais bien que jamais je ne pourrais vraiment réalisé. mais l’amour et l’amitié eux n’ont jamais disparu même la mort et la vie ne peuvent rien contre cela, je rêve la nuit de vos visages, de nos paysages, dans mon cœur tout est détruit reste votre courage, la foi que j’avais en l’homme a bien faiblit aujourd’hui, le ciel a la couleur du sang et ils ne voient plus que le désir d’interdit. loin de vos yeux les miens ne voie plus rien loin de vos voix j’hurle en vain loin de vos cœurs je ne ressens plus rien attendez-moi je vous en pris attendez-moi les souvenirs me vident de toute ma force mentale vos éclats de rire, vos sourires m’assaillent ne vous en aller pas, il n’est pas encore temps qu’on se sépare, pas encore temps que je reste seul, je ne suis pas prête a cette solitude que je vois venir a grand pas, détourner la de, mon chemin, il n’y a que vous qui en avez le pouvoir, je vous en supplie je ne suis pas prête. vous devez choisir entre elle et moi, cette fille qui ne souriras jamais, qui n’aimerais plus, qui n’aurait que le désespoir et l’angoisse en elle, cette fille qui ne croira plus au genre humain, cette fille qui mourra avec vous a votre départ, ou cette fille que je suis aujourd’hui cette fille que vous avez construit pendant toutes ces années, cette fille pleine de joie et d’espoir, qui n’abandonne jamais et qui pousse les autres a toujours croire que le lendemain ne peut être que meilleur ;c’est a vous de choisir aujourd’hui entre celle que je suis ou celle que je serais sans vous, et je vous en pris je vous en supplie choisissez moi ,pas cette inconnu, choisissez moi et rester en vie. choisissez vite parce que la souffrance qui me rapproche incompréhensiblement de vous affaiblit mon cœur et j’ai mal de vous imposer ce choix croyez moi mais je n’ai hélas pas le choix. je vous aime de tout l’amour qu’un être humain peut ressentir. pas de commentaire -- 27 février, 2011 27.02.11 classé sous liens — fruity @ 12:44 en quelques termes on a une pensée pour ceux qui s’aiment un jour pour s’oublier au-delà de tout dilemme pour partager une complémentarité sans négligence pour ne pas ignorer le pouvoir de l’amour et le sens de la vie quand on peut partager des moments chauds faut pas les voir d’un mauvais œil, dans mes propos je parle de ces attirances que l’on refoule devant nos yeux parce qu’on a peur des causes et conséquences à deux rien qu’un jour où deux personnes se mettent ensemble c’est pas anodin derrière ce geste, ça tremble bien plus que des sensations c’est précurseur d’une envie qui peut devenir palpable sans peur c’est dire que si on regarde bien on se comprend ces personnes ensemble sont vives, j’en suis content rien ne peut les empêcher d’être ensemble on est tous des amants d’un jour où tremblent ces mots qui perturbent et donnent après plein de bonheur même si c’est pour un jour parce qu’on a peur de ne pas laisser passer l’affaire à l’officiel heureux sont ceux qui regardent les nuages au ciel. pas de commentaire -- la belle dame sans merci classé sous liens — fruity @ 12:41 ah! qui peut te faire souffrir, chevalier en armes errant pâle et solitaire ! les joncs sont desséchés au bord du lac, aucun oiseau n’y chante. ah! qui peut te faire souffrir, chevalier en armes si farouche et si malheureux? le grenier de l’écureuil est rempli, et la moisson est rentrée. je vois un lis sur ton front avec la moiteur de l’agonie et la rosée de la fièvre ; et sur la joue une rose qui se flétrit et se fane de même rapidement – j’ai rencontré une dame, dans les prés, d’une grande beauté – la fille d’une fée ; - ses cheveux étaient longs, ses pieds légers et ses yeux sauvages. je tressai une guirlande pour sa tête, puis des bracelets et une ceinture qui embaumait ; elle me regardait comme si elle m’aimait et poussa un doux gémissement. je l’assis sur mon coursier paisible et ne vis rien d’autre tout le long du jour ; car elle se penchait de côté et chantait une chanson de fée. elle trouva pour moi des racines d’un goût exquis, du miel sauvage et la manne de la rosée ; et sûrement en langage étrange elle me dit : je t’aime véritablement. elle m’entraîna dans sa grotte d’elfe ; là, me contemplant, elle poussa un profond soupir : là, je fermai ses yeux sauvages et éperdus de quatre baisers. et là, en me berçant, elle m’endormit et là, je rêvai, ah ! malheur véritable ! le dernier rêve que j’aie jamais rêvé, sur le flanc de la froide colline. je vis des rois pâles et des princes aussi, de pâles guerriers – tous avaient la pâleur de la mort, et criaient : « la belle dame sans merci pas de commentaire -- 25 février, 2011 classé sous liens — fruity @ 22:39 somnium omnes posse vaticinantium erit in crastinum vel etiam minutissimis, sed sequetur errores accidunt excitat vitam quae faciunt, et non vult esse qui semper meditantur temporibus quae vide rationis volo partem credentibus in me alia quae rationi vol